Pour le dernier double épisode de ma série préférée, deux lignes temporelles.
Celle du futur avec un procédé que je n'aime pas trop : le vieillissement artificiel par maquillage pas convaincant.
Il suffit d'aller voir l'Amirale avec ce qu'est aujourd’hui Kate Mulgrew.
Un hologramme marié avec une jolie fille, c'est cela même. Elle se contente de peu, la fille.
Et l'Amirale chez les Klingons ... Elle a laissé son traducteur à la maison ou c'est pour le plaisir de nous faire ouïr cette cataracte de sons ?
Seven et Chakotay ? Je suis heureuse que ça se concrétise et que la première s'humanise. C'était si douloureux, cet épisode-holodeck. Au moins, c'est réciproque, il ne s'agit plus d'un phantasme.
L'accouchement de B'Elana, c'est quand même tout un poème.
La Reine Borg résume bien le paradoxe temporel : le capitaine Janeway va mourir, s'il n'a pas d'avenir, vous ne pouvez exister, et rien de ce que vous avez fait aujourd'hui ne se produira.
D'un autre côté, Janeway en réussissant annule l'existence de son futur venu la secourir.
Les deux Janeway nez à nez, c'était pas mal comme confrontation. Même pour moi qui n'aime pas les paradoxes temporels, j'ai apprécié.
Par contre j'aurais apprécié une fin moins ouverte : cap sur la terre !
Et puis quoi après ? Place aux romans et fanfics ?
Parce qu'en sept ans, avoir réussi à intégrer des maquisards dans un équipage tout en maintenant l'esprit Starfleet/ Fédération dans ce qu'ils ont de plus utopiques, fallait le faire.
Janeway reste tout de même une grande carrure.