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 « La vie est brève, l'art est long, l'expérience incertaine, le jugement difficile, l'opportunité fugitive » (Hippocrate) [DS9, post série, fic finie]

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Chibi
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Chibi

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Personnages: Bashir, E. Dax
Epoque: post série (2376,  peu après la fin de la guerre du Dominion)


« La vie est brève, l'art est long, l'expérience incertaine, le jugement difficile, l'opportunité fugitive » (Hippocrate)

2376, Deep Space Nine


Depuis son bureau, Julian Bashir consultait la liste de ses internes. La guerre étant achevée et la zone plus ou moins sécurisée, Starfleet Medical lui avait envoyé une cargaison de jeunes internes aux dents longues, pour la plupart ravis de se retrouver là, sur cette station devenue célèbre pendant la guerre et auprès de son médecin-chef tout aussi connu.
Jusque-là, Bashir avait toujours échappé à ce genre de choses, vu la situation et l’endroit où il se trouvait. Mais, désormais, ses supérieurs avaient estimé qu’il était prêt à partager son expérience avec de futurs médecins.
Lui-même avait des souvenirs mitigés de son propre internat, mais il devait reconnaître que la sévérité de ses maîtres avait fait de lui celui qu’il était maintenant. Mais la situation n’était pas la même. Ces jeunes gens avaient commencé leur internat pendant la guerre, ce qui changeait largement la donne. S’ils étaient plutôt bons en traitement d’urgence, il leur restait vraiment à apprendre tout le reste. Leur formation avait été plutôt rapide et incomplète car on les avait promptement expédiés sur les avant-postes pour effectuer leur internat.  
Ce matin, il les avait confiés aux médecins de garde sur la station, avec mission de participer le plus possible aux consultations. Ces futurs praticiens avaient besoin de se rappeler la base des maladies, comme le rhume, la varicelle ou ce genre de choses. Car la médecine, ce n’était pas que de la traumatologie, et c’était malheureusement ce que la plupart d’entre eux avait connu jusque-là dans la pratique. Et, il fallait bien le dire, ça l’arrangeait bien de ne pas avoir à s’en occuper lui-même, car il se demandait bien souvent comment faire et que leur transmettre. Pas question de passer pour un vieillard aux yeux de ces jeunes !
Il sortit de son bureau et, sous le couvert d’aller vérifier quelque chose dans le laboratoire attenant, passa non loin du médecin de garde. Elle avait laissé l’interne examiner la personne allongée sur le biobed. A ce que Julian pouvait en voir sur l’écran du biobed, il s’agissait d’une fièvre rigellienne prise à son début. Le seul remède connu était de la ryetaline, qu’ils avaient en stock. Normalement, l’interne avait appris les symptômes à la Medical Academy et devait pouvoir la reconnaître,  mais il y avait loin de la coupe aux lèvres. Heureusement, le médecin présent à côté lui donnait la bonne méthode de diagnostic. Susan Gideon, la rigellienne de l’équipe, avait toujours été calme et patiente, elle était donc une des personnes les plus appropriées pour participer à la formation des internes.
Jusque-là, la journée commençait calmement pour lui, essentiellement de la paperasserie, ce qu’il aimait le moins mais, peu avant midi, il reçut un appel de l’hôpital central de Bajor : on lui envoyait un cas chirurgical complexe. La navette qui l’amenait serait là d’ici une vingtaine de minutes.
Attrapant une casaque stérile encore emballée, il interpella Gideon :
« Venez avec moi, votre interne aussi, on a du pain sur la planche… »
L’interne en question était une grande andorienne qui le dépassait largement d’une tête, mais ce n’était pas du genre à l’impressionner. Il envoya immédiatement une équipe d’infirmiers au sas pour prendre en charge le patient pendant qu’un infirmier de bloc préparait la salle d’opération. La procédure était bien huilée, aussi eut-il le temps de tendre un PADD avec les données à l’interne.
« Voyons voir ce que vous en pensez et ce qu’il faudrait faire… »
L’interne s’exécuta et plongea immédiatement dans le flot de données. Plusieurs symptômes semblaient principaux : défaillance cardio-respiratoire, multiples tumeurs abdominales, problèmes lymphatiques. Un syndrome auto-immun, à première vue.
L’interne abaissa le regard vers Bashir.
« C’est une réaction auto-immune, monsieur… »
Le visage du médecin n’eut pas un mouvement.
« Et que recommandez-vous pour le traiter ? N’oubliez pas de prendre en compte tous les paramètres, cadette… »
Les antennes de la jeune andorienne bougèrent dans tous les sens, mais pas en signe d’agressivité, elle réfléchissait visiblement.
« Une chirurgie destinée à enlever les tumeurs abdominales, puis un traitement immunosuppresseur le temps que son état se normalise… »
Bashir croisa les bras.
« Il vous manque quelque chose d’important, cadette : la cause. En effet, cela va stabiliser son état, je suis d’accord avec vous, mais ne réglera pas son problème à long terme. Quels examens supplémentaires peuvent vous permettre de trouver la cause ? »
Il voulait qu’elle comprenne que la chirurgie n’était pas le remède à tout. Des examens de laboratoire « classiques » pouvaient s’avérer décisifs dans certaines pathologies, pour affirmer ou infirmer un diagnostic.  Mais l’andorienne avait de la ressource.
« Des examens de laboratoire pour commencer, monsieur, sur le sang et l’urine puis des examens plus poussés si les premiers ne donnent rien… »
Bashir acquiesça.
« Très bien, cadette. Cela vous permettra d’éliminer tout virus ou autres bactéries ou agents pathogènes présents dans le sang… »
Il n’eut pas le temps d’en dire plus, les infirmiers revenaient avec le patient. Il envoya Gideon et l’interne se changer pour qu’elles puissent ensuite se charger de l’anesthésie, puis alla le faire lui-même. Quand il entra dans le bloc opératoire, le patient était endormi, l’infirmier de bloc l’attendait avec Gideon et la cadette.
« A présent, nous allons pouvoir faire un diagnostic plus précis… », fit-il en montra l’écran du biobed.
En effet, les grosses tumeurs abdominales étaient bien là, et allaient être enlevées chirurgicalement. Les machines soutenaient le rythme cardiaque et respiratoire du patient. Il regarda les données des examens sanguins et parvint à diagnostiquer rapidement une bactérie qui provoquait une réponse auto-immune du corps. Au regard de Gideon, il vit qu’elle l’avait vu aussi. Alors qu’il saisissait un scalpel pour faire ses premières incisions, il demanda à la cadette.
« Alors cadette, qu’est-ce qui cause son état ? »
L’andorienne sembla avoir un moment de flottement, visiblement elle ne voyait pas l’essentiel. Bashir vint à son secours.
« Regardez les niveaux de polynucléaires et de lymphocytes… »
En effet, le système immunitaire avait répondu à l’agression de la bactérie, ce qui expliquait le taux élevés de globules blancs.
« Bactérie dhemal, monsieur. Cela se traite avec des antibiotiques à spectre resserré… », dit la cadette, sûre d’elle.
Bashir esquissa un sourire.
« Hé bien voilà, enfin…mais vous devrez apprendre à voir l’essentiel, cadette, vous ne pourriez pas avoir tout ce temps pour faire votre diagnostic… »
Il avait dit cela sur un ton didactique qui lui rappelait celui de son professeur, Selok de Vulcain. Lui qui s’était justement promis de ne pas enseigner comme lui, c’était fichu. Il prit le scalpel, procéda à la laparotomie médiane et plongea dans l’abdomen du patient. Bien sûr, les tumeurs abdominales s’étaient développées là où elles pouvaient se nourrir, sur les gros vaisseaux sanguins abdominaux, ce qui allait indéniablement compliquer les choses. Mais un peu de micro-chirurgie ne lui faisait pas peur. L’avantage du scalpel laser était de cautériser en même temps et donc d’éviter toute hémorragie. Bashir, à juste titre, mesurait l’apport nécessaire de la technologie à son métier, et celui-là en était un majeur.
Calmement, sans un geste brusque, il  enleva plusieurs tumeurs l’une après l’autre et vérifia qu’aucune d’entre elles n’était maligne. Pour la dernière, il tendit son scalpel à l’interne.
« Il faut bien commencer… », dit-il seulement.
Les médecins de Starfleet devraient aussi être des chirurgiens, il fallait donc qu’ils apprennent et il ne connaissait rien de mieux que le terrain pour le faire. L’andorienne, visiblement assez surprise de son geste, prit le scalpel et commença à séparer avec de petits mouvements la chair des tumeurs de la paroi externes des vaisseaux sanguins.
« Allez-y avec précautions, cadette, je vous recommande de vous servir du grossissement sur l’écran pour être plus précise, ne tranchez pas la paroi de l’artère… », lui signala-t-il.
Le geste de l’andorienne avait encore besoin de s’assurer, mais elle ne débrouillait pas trop mal vu la délicatesse de la manipulation à effectuer. Rien à voir avec la réputation de brute épaisse que traînait son peuple depuis quelques centaines d’années. Bashir le savait, lui qui avait eu durant ses études un ami andorien, Erib, qui était en section médecine avec lui.
Après avoir tâtonné et avoir frôlé dangereusement plusieurs fois la paroi fine de l’artère, enfin la cadette parvint à ôter la dernière tumeur. Une légère odeur de chair brûlée flottait dans l’air, à laquelle elle n’était pas tout à fait habituée malgré le début de son internat qui avait été difficile, et sa peau bleue avait pris une couleur azur clair qui ne présageait rien de bon pour la suite. Gideon dit alors :
« Vous avez bien travaillé, sortez maintenant, cadette, et allez respirer un peu d’air frais… »
Bashir était déjà en train de recoudre le patient et il acquiesça :
« Vous avez bien fait, ça lui fera du bien d’aller prendre l’air… »
Les deux médecins avaient eux aussi, à leur époque, connu l’humiliation de se sentir mal devant un patient ou dans un bloc, aussi n’avaient-ils pas voulu en rajouter.
Une fois l’intervention achevée, Gideon eut un sourire.
« Si je puis me permettre, monsieur, je pense que vous commencez à être un sacrément bon enseignant… », dit-elle avec son franc parler habituel.
Gideon savait que, là-dessus, il revenait de loin. C’était la première fois depuis que les internes étaient arrivés qu’il prenait vraiment son rôle d’enseignant au sérieux, sans le déléguer à ses collègues.
Une fois le patient suturé et traité mis en salle de réveil, Bashir, débarrassé de sa tenue de chirurgie, alla s’enquérir de l’état de son interne. Il la retrouva avec une tasse de raktajino, assise dans un coin de l’infirmerie. Elle avait retrouvé sa couleur normale. Quand elle le vit, elle se leva brusquement mais il lui fit signe de s’asseoir.
« Pas de panique, ce n’est pas anormal de se sentir mal, l’odeur peut parfois être très dérangeante quand on n’y est pas habitué. Mais, si vous avez encore un peu de travail en chirurgie, vous êtes prometteuse, ne vous découragez pas… »
Et, laissant la cadette relativement surprise mais quelque peu ravie, il retourna à son travail de bureau en attendant que le patient se réveille…

Ce soir-là, alors qu’il était au lit avec Ezri blottie dans ses bras, il lui dit :
« Je crois que tu avais raison, j’ai trouvé le moyen d’enseigner. J’ai compris que je pouvais les laisser faire tout en supervisant pour reprendre la main en cas de problème… »
Ezri posa sur lui son regard bleu-gris transparent. Quand les internes étaient arrivés, il s’était ouvert à elle, se demandant comment il allait bien réussir à leur transmettre quelque chose sans ressembler forcément à ces vieux professeurs poussiéreux de la Medical Academy. Après tout, ne l’avait-on pas nominé au prix Carrington alors qu’il n’avait que trente ans à peine, voici plusieurs années ? Une marque de plus qu’on le considérait déjà à l’époque comme un « vieux », et cela l’avait freiné quelque peu. Elle lui avait dit de se baser surtout sur son propre ressenti et sa propre façon d’être et avait froncé les sourcils quand elle avait appris qu’il avait beaucoup délégué à ses subordonnés.
« Je savais que tu y arriverais… », dit la conseillère avec un sourire, « mais ça devait venir de toi. Ces jeunes ont beaucoup à apprendre de ton expérience… »
Julian eut un léger rire.
« Hé, je ne suis pas si vieux, je n’ai qu’une dizaine d’années de plus qu’eux… »
Mais Ezri était très sérieuse.
« Dix ans, après les années de guerre, ça compte presque le double en expérience. Ces jeunes, pour la plupart, ont déjà connu cette médecine de guerre qui a été ton quotidien ces dernières années. Ce que tu pouvais leur apporter réellement, c’était autre chose, il fallait juste que tu en prennes pleinement conscience, c’est tout… »
Julian trouvait parfois épuisant le bon sens d’Ezri. Bien qu’elle eût encore l’esprit quelque peu embrumé suite à son joining quelque peu chaotique, elle était tout de même bien plus sage que lui.
« Une fois de plus, tu avais mieux compris les choses que moi…il faut vraiment que j’évolue encore sur le plan humain… »
Le voyant un peu triste et se reprochant d’avoir été une fois de plus trop directe, Ezri vint s’allonger sur lui avec sensualité :
« Mais non, tu es un homme bien, un excellent médecin, il te manque encore un tout petit peu d’empathie supplémentaire mais tu l’as quasiment acquise aujourd’hui… »
Et elle l’embrassa alors que, par le hublot, on voyait s’ouvrir le wormhole. La guerre était finie, mais la vie continuait…

FIN
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Schmullus
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Schmullus

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Un médecin qui soigne les causes contre un système qui soigne indéfiniment les effets. J'achète! dac
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Saga
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Schumulls je te trouve trouve bien dur avec la médecine.

La médecine traite systématiquement les deux seulement en médecine de garde ou pire en médecine de guerre l'empirisme reste souvent la seule solution et c'est seulement après que le patient est stabilisé que l'on s'attaque aux causes.
Les internets qui prennent leurs postes sur DS9 ont fait leurs classes pendant la guerre normal qu'ils aient pris en quelques sortes de mauvaises habitudes.
En médecine de guerre c'est encore pire, avant même de soigner les causes et les effets il y a la sélection, le médecin doit faire un choix entre ceux qui vivront et ceux qui mourront par manque de temps ou de ressources.
De plus Bashir à la mémoire courte, je me souvient de son arrivées sur DS9 c'était pire.
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Chibi
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MessageSujet: Re: « La vie est brève, l'art est long, l'expérience incertaine, le jugement difficile, l'opportunité fugitive » (Hippocrate) [DS9, post série, fic finie]   « La vie est brève, l'art est long, l'expérience incertaine, le jugement difficile, l'opportunité fugitive » (Hippocrate) [DS9, post série, fic finie] Icon_minipostMer 11 Fév 2015, 13:19

Effectivement, les conditions de travail de Bashir étaient catastrophiques quand il est arrivé, mais ça n'a rien à voir avec ce qu'on peut voir après dans "Nor the battle to the strong" où les médecins sont débordés et soignent un peu comme ils peuvent des soldats dont certains sont atteints de SPT. Ca, en effet, c'est la véritable médecine de guerre, avec triage et tout. En effet, les internes ont appris à exercer dans ces conditions, et savent à peine soigner une fièvre ou une grippe, d'où l'intérêt de leur apprendre puisque, comme après toutes les guerres, tout le monde jure "plus jamais ça" et qu'on espère qu'ils n'auront plus jamais à travailler dans des conditions pareilles.
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@ Saga

En effet, je me suis mal exprimé, laissant croire que mon interprétation était liée à l'univers de fiction. J'ai utilisé le Julian Bashir de Chibi pour le confronter à notre médecine réelle. Smile

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